IPhone. Apple archive l’historique des appels dans le cloud

Une société de sécurité informatique russe a mis en évidence que Apple stockait les historiques d'appels des utilisateurs d'iPhone sur l'iCloud sans leur demander leur permission.

Apple s’était érigé en héraut de la protection de la vie privée de ses utilisateurs dans l’affaire de la tuerie de San Bernardino. Le géant de la téléphonie avait refusé début 2016 de fournir les données contenues dans l’iPhone du tueur, Syed Rizwan Farook, au FBI.

Mais Apple ne serait pas si blanc en matière de protection des données personnelles.

La société fondée par Steve Jobs vient de confirmer que l’historique des appels passés depuis un iPhone était automatiquement archivé sur le cloud. Sans qu’aucun consentement des utilisateurs ne soit requis au préalable.

Cet archivage avait été détecté par la société de sécurité informatique russe Elcomsoft d’après laquelle ces appels sont conservés pour une durée de quatre mois. Apple parle, quant à lui, d’une sauvegarde de trente jours.

Synchronisation automatique

Lorsque les propriétaires d’iPhone configurent leur appareil, ils sont invités à créer un compte iCloud permettant de stocker leurs données, comme leur répertoire, sur internet, ce qui peut s’avérer utile en cas de changement de téléphone.

« Nous offrons une synchronisation de l’historique des appels par commodité pour que nos clients puissent rappeler un interlocuteur depuis n’importe lequel de leur appareil », fait valoir la marque à la pomme.

Parmi ces données figurent aussi les appels classiques et les appels vidéo via FaceTime. Or, dans les paramètres de configuration de l’iPhone, aucun outil ne permet de désactiver ce transfert d’historique des appels.

Apple récupère ensuite simplement le journal de ces coups de fil sur ses serveurs. L’ensemble de ces données, une fois sorties du téléphone, ne sont plus chiffrées et sont donc à la disposition d’Apple qui peut se réserver le droit de les communiquer en cas de demande judiciaire.

Plus inquiétant, ces données pourraient également être exploitées par des pirates informatiques.

Source : Ouestfrance.fr

Nouvel OS Andromeda : Fusion d'Android et Chrome OS

Fusion. Google pourrait dévoiler courant 2017 une tout nouveau système d'exploitation qui réunirait à la fois l'univers d'Android et celui de Chrome OS. Des fabricants développeraient déjà des machines compatibles.

Ce n'est un secret pour personne, Google planche sur un tout nouveau système d'exploitation qui combinerait à la fois Android et Chrome OS, il serait baptisé Andromeda. Après avoir conquis le monde du mobile, le géant californien entendrait ainsi véritablement concurrencer Windows ou Mac OS.

Pour l'heure, peu d'informations ont fuité, toutefois grâce à une source proche du site 9to5Google, nous savons que deux importants fabricants auraient reçu des kits de développement. On apprend aussi qu'il ne serait pas disponible avant la fin 2017 et la présentation d'Android 8.0. Google aurait l'intention de fusionner ces deux systèmes d'exploitation. On se retrouverait alors avec un système unique pour plateforme mobile et fixe. Une démarche assez similaire à celle de Microsoft.

Enfin, selon cette même source Android Nougat continuerait d'évoluer sur mobile. Une information pour le moins étrange car on imagine mal Google fractionner son écosystème. La prochaine conférence Google I/O, qui se tiendra courant mai 2017, devrait détailler les projets de Google concernant ses OS.

Source : Cnetfrance.fr

Quand Spotify s'attaque à votre disque dur

Spotify va être mis à jour pour corriger un bug qui enregistrait des giga-octets de données inutiles. 

(CCM) — Vous passez vos journées à l'écoute de vos playlists Spotify ? il va falloir très vite penser à faire une mise à jour de la version desktop votre logiciel favori, et sans doute prévoir un bon nettoyage de disque dur. Le lecteur audio du géant du streaming est en effet victime d'un bug qui enregistrait des dizaines de giga-octets inutiles sur le disque dur à chaque utilisation. Un cauchemar pour la bande passante et la durée du disque dur. 

De nombreux utilisateurs mécontents postent depuis plusieurs mois des messages indiquant que Spotify écrivait des volumes importants de donnée sur leur disque dur. Intrigués, des journalistes de Ars Technica (lien en anglais) ont mené l'enquête et découvert que le logiciel écrivait entre 5 et 10 Go de données par heure, même lorsqu'il était inactif. Et cela pouvait monter jusqu'à 700 Go par heure en utilisation ! De quoi faire sauter votre espace disque, mais aussi votre bande passante. Sur le long terme, le bug pourrait également malmener les disques durs SSD, sensibles aux réécritures répétées. 

Apparemment, l'article d'Ars Technica et les plaintes répétées ont fait réagir. En effet, Spotifydéploie en ce moment même un correctif pour corriger ce bug embarrassant qui touche aussi bien les versions desktops Windows, Linux et Mac. 

Source : Commentcamarche.net

Windows 7 plus résistant aux ransomwares que Windows 10

Windows 10 serait plus sûr que Windows 7 contre les ransomware

Microsoft indique que Windows 10 est une bonne parade contre les ransomware... Bien plus que Windows 7. Une nouvelle manière de pousser à l'adoption de son système ?

Parmi les attaques informatiques qui peuvent frapper à peu près toute personne disposant d'un ordinateur, les ransomware sont probablement les plus ennuyantes. Ce ne sont pas forcément les plus dangereux, mais le fait de voir son ordinateur être bloqué a de quoi énerver au plus haut point. Pour Microsoft, Windows 10 est un début de solution.

Windows 10 plus sûr que Windows 7 contre les ransomware

Microsoft n'est probablement pas l'avocat le plus impartial qui soit lorsqu'il s'agit de Windows 10 (ou de toute autre version de Windows), loin de là. Mais si on prend les chiffres publiés par le géant de Redmond pour appuyer ses propos comme vrais, il faut effectivement le croire : Windows 10 serait une bonne solution pour éviter de tomber dans les mains d'un hacker et ses ransomware.

Pour le prouver, Microsoft dévoile, dans le graphique ci-dessous, les chiffres des attaques par ransomware subies par les ordinateurs tournant sous Windows 10 et Windows 7. Alors qu'entre janvier 2016 et juillet 2016 le risque d'être sujet à un ransomware est passé de 0,3 % à 0,65 % (avec un pic à 0,9 % en mai 2016) pour les utilisateurs de Windows 7, les utilisateurs de Windows 10 semblent plus protégés.

En janvier 2016, ces derniers n'avaient que moins de 0,1 % de chances de tomber sur un ransomware et seulement 0,3 % de chances en juillet 2016 : les risques ont donc triplé, mais ils restent 58 % moins élevés, selon Microsoft, qu'avec Windows 7.

Faut-il croire Microsoft ?

Les données viennent du dernier livre blanc de Microsoft concernant la lutte contre les ransomware et les dernières innovations déployées sur Microsoft Defender et le navigateur Edge. Mais faut-il prendre la parole de Microsoft comme acquise ?

On pourrait penser que Microsoft veut, ainsi faisant, pousser encore un peu plus à l'adoption de Windows 10, son dernier OS qui ne manque pas d'avoir créé la polémique étant donné le nombre de données personnelles qu'il collecte par défaut.

Source : Clubic.fr

Samsung lance la beta d’Android 7.0 Nougat pour ses Galaxy S7 et S7 edge

LG, Honor et désormais Samsung. Quelques semaines après la sortie d’Android 7.0 Nougat, les constructeurs se bousculent au portillon pour intégrer la dernière version de l’OS mobile de Google à leurs terminaux, sans perdre trop de temps.

Le constructeur coréen vient de le confirmer : il a lancé la phase bêta d’Android 7.0 Nougat sur quelques-uns de ses smartphones. En apposant quelques restrictions, cependant.

Les Galaxy S7 et Galaxy S7 edge, uniquement

Le Galaxy Note 7 ayant désormais été mis à la retraite (quand bien même il n’aura jamais été officiellement lancé sur les marchés), Samsung se doit de mettre le paquet sur ses Galaxy S7 et Galaxy S7 edge, et de faire en sorte que ses deux favoris ne prennent pas de retard. C’est donc pour cela qu’il amorce ce jour le lancement de la phase bêta d’Android 7.0 Nougat et de la dernière version de Grace UX sur les téléphones suscités.

Une intégration obligatoire

Mais les Galaxy S7 et Galaxy S7 edge disposant chacun d’une surcouche logicielle (à très peu de choses près identique), ils doivent faire l’objet d’une adaptation d’Android 7.0, rendant le processus d’intégration un peu plus lent que prévu. En tout cas bien plus long vis à vis des nouveaux Pixel et Pixel XL lancés par Google à la rentrée 2016. Ceci étant, la première bêta d’Android 7.0 Nougat destinée aux deux mobile de Samsung est pour le moment uniquement déployée aux Etats Unis, au Royaume Uni et en Chine. Les intéressés peuvent prendre part à cette phase en se rendant sur le Play Store, la boutique de Google, et en téléchargeant une application leur donnant accès au fichier. En tout cas, l’arrivée de cette bêta signifie que la version officielle d’Android 7.0 adaptée aux Galaxy S7 et S7 edge ne devrait pas tarder à être officiellement distribuée.

Source : Begeek.fr

AlienWare 13 Oled et dispo pour la VR

Alienware présente le premier ordinateur portable 13 pouces prêt pour la réalité virtuelle, puissant, mobile et à un prix compétitif, le nouvel Alienware 13

Le nouvel Alienware 13 tire sa puissance graphique de la gamme de processeurs graphiques NVIDIA GeForce GTX série 10, afin de faire vivre aux gamers des expériences de réalité virtuelle immersives et une grande finesse de détail des jeux sur PC. Le choix de matériaux innovants permet au nouveau laptop de bénéficier d’un design plus résistant et durable, en étant plus fin que les modèles de la génération précédente. De nouveaux éléments de conception pensés pour les gamers viennent améliorer la gestion thermique des derniers composants pour optimiser la performance ; le design renforcé du haut-parleur, la sortie audio et les zones d’éclairage dynamiques font en sorte que l’expérience de jeu sur Alienware ne ressemble à aucune autre. L’Alienware 13 sera disponible le 10 novembre à partir de 1479 €.

• Des performances pour la réalité virtuelle rendues possibles avec les cartes graphiques NVIDIA GeForce GTX série 10
• Equipé du processeur quad core Intel Core H-Series, le nouvel Alienware 13 offre 51% de performances en plus en passant du Core i5 au Core i71
• Plusieurs options possibles dont un écran OLED QHD tactile
• Les matériaux haut de gamme améliorent la performance et le refroidissement.
• Une nouvelle caméra infrarouge supporte Windows Hello, et le logiciel Tobii Aware eye-tracking fait partie des nouvelles fonctions standard

Alienware 13

Le plus petit modèle de PC portable Alienware regorge de nouvelles fonctionnalités et est capable de faire vivre des expériences de réalité virtuelle jusque-là réservées aux systèmes haut de gamme. L’Alienware 13 est le premier ordinateur portable de moins de 14 pouces de la gamme avec processeur quad core Intel Core H-Series, qui offre de la marge pour encore plus de performance grâce à la technologie brevetée de Dynamic Overclocking d’Alienware. Les nouveaux processeurs et les dernières cartes graphiques NVIDIA multiplient par 5 les performances graphiques en résolution 4k du précédent Alienware 13, et un écran OLED à couper le souffle avec un temps de réponse de 1ms garantit la parfaite fluidité de jeu.2 Désormais en standard, tous les PC portables Alienware intègrent une caméra infrarouge prenant en charge la technologie de reconnaissance faciale biométrique Windows Hello, ainsi que le logiciel Tobii eye-tracking (une caméra supplémentaire est nécessaire pour les commandes oculaires). Alienware souhaite que les gamers mobiles puissent aussi bénéficier des meilleures performances et de fonctions incroyables, ainsi que d’une autonomie optimale. La nouvelle approche de design a permis de remplacer la précédente batterie 51 watt-heure par une batterie lithium-ion de 76 watt-heure, à savoir l’une des capacités les plus importantes jamais offerte par un portable 13 pouces.3

Les options LCD vont de l’écran HD (TN) et FHD (IPS) à l’écran OLED QHD avec technologie tactile. En partenariat avec Samsung, l’Alienware 13 OLED avec technologie tactile est le premier ordinateur portable gaming équipé d’un écran OLED (organic light-emitting diode). Cette technologie OLED, de plus en plus répandue pour les téléviseurs, les smartphones et d’autres terminaux, offre un contraste sans précédent de 100 000:1 et une saturation des couleurs quasi infinie, avec un noir profond, impossible sur d’autres types d’écran.

Source : metatrone.fr

PocketMaker : l'imprimante 3D de poche à 149$

PocketMaker : une imprimante 3D de poche pour $149 !

Développée par des étudiants de l’Académie Centrale des Beaux-Arts de Pékin, la PocketMaker est potentiellement la plus petite imprimante 3D au monde. Actuellement en cours de financement, l’imprimante 3D de poche devrait voir le jour courant 2017 pour un prix de marché de $149 !

Avec un poids sur la balance de seulement 850g, la PocketMaker affiche des dimensions mini de 108 x 128 x 142 mm. Elle permettra de créer des pièces d’un volume maximum de 80 x 80 x 80 mm avec une précision de l’ordre de 200 microns à l’aide d’une buse de 0,4mm. Enfin l’imprimante pourra se connecter sans fil ou avec un cable USB pour des ordinateurs utilisant Windows ou Mac. Une application mobile est également prévue pour les smartphones iOS et Androïd.

Une structure simplifiée

La PocketMaker offrira un design épuré avec son enceinte semi-fermée translucide. Le plateau de celle-ci sera flexible et amovible, tout comme la tête d’impression qui pourra être facilement remplacée en cas de buse bouchée. Les têtes d’impression additionnelles seront vendues pour un prix de $14,9 (environ 13,5€) précise la firme.

Au niveau des matériaux d’impression, la PocketMaker utilisera des filaments d’une épaisseur de 1,75mm à partir de PLA ou d’ABS. La firme proposera des bobines de PLA en format 160g pour $2,6 (soit environ 2,35€) spécialement pensées pour l’imprimante 3D de poche. “Nous avons conçu un filament PLA de poche spécial pour que les gens puissent imprimer avec plus de choix parmi les coloris et les matériaux”.

Les étudiants déclarent : “Notre mission était de rendre l’impression 3D simple et abordable. Nous avons redessiné et personnalisé le moteur en ne laissant que la structure nécessaire afin d’avoir une imprimante stable et une impression de qualité. En fin de compte elle ne nécessite quasiment aucun effort pour être utilisée ce qui est essentiel pour un objet qui fera bientôt partie de notre quotidien.”

Lancée il y a quelques jours, la campagne de financement de la PocketMaker est désormais live sur la plateforme Indiegogo. Avec un objectif de collecte de $70,000 d’ici un mois, le projet a déjà recueilli la somme de $13,785. Différentes options de pré-commande sont disponibles pour les personnes désireuses d’acquérir la machine. Ainsi, la PocketMaker était disponible pendant quelques heures pour $49 puis $79. Il vous sera désormais possible de la commande pour un prix de $99 pour une période limitée !

Ci-dessous, une vidéo de présentation de la PocketMaker :

Plus d’informations sur la PocketMaker ICI

Source : 3dnatives.com